Danilo Di Luca risque deux ans :

Hier, le parquet antidopage du Comité Olympique National Italien (CONI) a requis deux ans de suspension à l'encontre de l'Italien Danilo Di Luca (LPR Brakes). Le dernier vainqueur du Giro est suspecté de dopage depuis un résultat anormal lors d'un contrôle réalisé lors de la 17ème étape de l'épreuve en mai dernier. Le CONI souhaite suspendre le coureur en vertu de l'article 2.2 du Code Mondial Antidopage, qui condamne l'usage ou la tentative d'usage d'une substance ou méthode interdite. Le soir de cette étape de montagne, le CONI avait procédé en soirée à des tests antidopage inopinés sur plusieurs coureurs italiens. Di Luca, Mazzoleni, Ricco et Simoni avaient tous subi ces contrôles inopinés. Les échantillons de Danilo Di Luca ont révélé des valeurs hormonales anormalement basses, équivalentes à celles d'un enfant, ce qui a laissé croire que
l'Italien aurait fait usage d'une perfusion d'eau ou de sérum physiologique.

(source: www.velo101.com)

Soupçonné de dopage au cours de la dernière édition d'un Giro dont il est sorti vainqueur, l'Italien Danilo Di Luca (LPR Brakes) est contraint au repos forcé. Il a en effet été mis à pied par sa formation dans l'attente de sa convocation devant le Comité Olympique National Italien (CONI), qui doit l'entendre le mardi 1er avril. L'ancien numéro un mondial s'est offusqué d'une telle décision. Il a demandé l'avancement de son assignation à comparaître afin d'être plus vite de retour sur un vélo en compétition et préparer dans les meilleures conditions sa campagne des classiques ardennaises. Il y a une semaine, le parquet antidopage du CONI avait requis deux ans de suspension à l'encontre de Danilo Di Luca, dont un contrôle inopiné effectué à l'hôtel au soir de la 17ème étape du Giro avait révélé des valeurs anormales.

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L'Abruzzais Danilo Di Luca (LPR Brakes) risque gros à un mois de la remise en jeu de son titre de vainqueur du Tour d'Italie. Il n'est pas dit en effet que le coureur puisse prendre part au Giro, tant le doute persiste sur ses performances. Contrôlé par surprise par des inspecteurs du Comité Olympique National Italien (CONI) au soir de la 17ème étape de la course rose l'an passé, Danilo Di Luca a présenté des valeurs anormales. Hier, le directeur du laboratoire antidopage de Rome, Francesco Botre, a confirmé devant un juge que les analyses présentaient des taux anormaux car clairement différentes des autres. Selon les enquêteurs, le coureur italien aurait pu recevoir une perfusion d'eau ou de sérum physiologique. Le juge se prononcera le 16 avril sur une éventuelle sanction. Il y a un mois, le CONI avait requis deux ans de suspension.

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L'Italien Danilo Di Luca (LPR Brakes) a été acquitté des soupçons de dopage qui pesaient contre lui. Hier, le juge de dernière instance s'est prononcé sur les résultats des échantillons prélevés sur le vainqueur du Giro après l'étape du Zoncolan. L'absolution de Danilo Di Luca de la part du juge dément ainsi la procédure antidopage du CONI. Elle démontre que les règles ont été respectées après l'étape du Zoncolan. L'Abruzzais pourra donc poursuivre le cours de sa carrière sans souci. Contrôlé à la suite de l'étape-reine d'un Tour d'Italie qu'il s'est adjugé l'an passé, Danilo Di Luca risquait une suspension de deux ans. Le juge a finalement pu démontrer que rien d'incohérent n'avait été découvert dans les analyses, ce qui permettra au coureur de poursuivre sa saison et de préparer sereinement sa grande échéance : la défense de son Maillot Rose dans le Giro.

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Le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) a confirmé la décision adoptée le 14 octobre dernier par un juge italien concernant Danilo Di Luca (LPR Brakes), qui avait été suspendu pour une durée de trois mois, en raison de ses visites médicales auprès du docteur Santuccione. Puni dans le cadre de l'affaire Oil for Drug, l'ancien numéro un mondial a purgé sa peine, mais cette suspension l'a empêché de figurer l'an dernier au palmarès d'un ProTour dont il était sur le point de remporter une deuxième édition. Ce sont les conséquences de cette sanction qui avaient conduit Danilo Di Luca à déposer un appel auprès du TAS. La cour d'appel sportive a donc rejeté l'appel déposé par le coureur et le contre-appel déposé par le Comité Olympique National Italien (CONI) contre cette décision. L'affaire, dont le dénouement restera anecdotique, est désormais close.

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