Dopage

Ici sera placé la plupart des cas de dopage et les procès.

Nous avons trouvé plus performant que l'EPO, le GW1516 augmentant 70% de l'effort !

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A croire que malheureusement le dopage ne s'arrêtera jamais. Certains chercheurs ont trouvé une molécule bien plus efficace que de l'EPO. Le GW1516 de son nom, est à l'origine un médicament testé depuis 2004, pour traiter le diabète de type 2 et l'hypertension artérielle. Autre effet de ce "médicament", il augmente artificiellement l’activité du gène PPAR, gène qui a pour rôle de contrôler la croissance cellulaire dans les muscles, tout en inhibant le stockage des graisses. En laboratoire, sur des souris, le GW1516 a permis d'augmenter leur endurance de 70 % quand l'EPO, l'améliore de 10 %. A une semaine du début des Jeux, ce produit n'était pas détectable par les tests de contrôle anti-dopage. Le S107, une autre molécule découvert récemment, fait disparaitre la fatigue des efforts consécutifs ainsi que les courbatures. Espérons que pour la beauté du sport et de l'effort, de tels produits ne seront jamais utilisés par le milieu sportif.

(source: www.velo101.com)

J'espère de tout cœur que ce produit ne sera pas utilisé par les sportifs, et avoir un contrôle anti-dopage détectant cette molécule ! :insulte:

c'est clair on ce demande bien pk il révèle sa au grand public!

170 contrôles effectués Jeudi, lors de la Vuelta,

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La lutte antidopage a commencé de bonne heure sur les routes du Tour d'Espagne. Jeudi, 170 contrôles antidopage ont été réalisés dans la matinée. La course sera d'ailleurs pionnière en la matière puisque, pour la première fois depuis son établissement le 1er janvier dernier, l'étude du passeport biologique entrera en vigueur. Cette nouveauté sera en effet appliquée pour la toute première fois, après une riche collecte de résultats ces derniers mois. Les organisateurs ont fait savoir que tous les coureurs seraient tenus de présenter un passeport biologique en règle. Ils ont en outre annoncé que le laboratoire de Madrid, en charge des contrôles, était en mesure de détecter la CERA, un EPO à effet retard déjà employé par les tricheurs. Il y a trois ans, Roberto Heras s'était vu retirer son quatrième succès après un contrôle positif à l'EPO.

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Bonne nouvelle. :=D:

Confirmation du cas de dopage de Manuel Beltran.

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Premier cas de dopage sur le Tour de France 2008, l'Espagnol Manuel Beltran a eu la confirmation de son test positif par l'Agence Française de la Lutte contre le Dopage. Participant au Tour de France sous le maillot de la formation italienne de la Liquigas, Beltran avait été contrôlé positif à l'EPO au soir de la première étape entre Brest et Plumelec le 5 juillet. Dès leur prise de connaissance de cette affaire, les organisateurs de la Grande Boucle avaient exclu le 11 juillet le fautif. Dans l'attente de l'expertise de l'échantillon B, l'équipe Liquigas avait suspendu son coureur. "Si la contre-analyse s'avère positive, notre collaboration sera terminée", avait affirmé la groupe transalpin. A 37 ans, Manuel Beltran se retrouve donc sans équipe et risque une sanction de deux ans minimum. De plus, il encourt une sanction de l'AFLD en tant que coureur étranger.

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Paolo Bossoni positif.

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Le laboratoire antidopage de Rome a confirmé la présence d'EPO nouvelle génération dans le sang de l'Italien Paolo Bossoni (Lampre). Le coureur transalpin avait été contrôlé positif à Bergame le 29 juin dernier, en marge des Championnats d'Italie. S'il a toujours nié s'être dopé, il devra à présent s'expliquer sur le résultat positif de la contre-expertise. Conformément aux codes éthiques adoptés par toutes les équipes professionnelles, Paolo Bossoni sera prochainement licencié de l'équipe Lampre, dans l'attente d'une condamnation. Juste avant son contrôle antidopage positif, il avait pris la 6ème place du Championnat d'Italie. Le coureur avait ouvert son palmarès en 2000 en s'adjugeant une étape du Tour d'Espagne à Valence. L'Italien est âgé de 32 ans.

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Frank Schleck soupçonné.

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Des soupçons de dopage pèsent à nouveau sur le Luxembourgeois Frank Schleck (Team CSC-Saxo Bank). Inquiété par une enquête douanière sur le dernier Tour de France, le champion du Luxembourg fait l'objet d'une nouvelle enquête dans le cadre de... l'affaire Puerto. Il y a deux ans, Frank Schleck aurait versé une importante somme d'argent sur un compte suisse en direction du docteur Fuentes. Afin de s'expliquer, il sera convoqué devant l'instance antidopage luxembourgeoise dans les semaines à venir. Le coureur a d'ores et déjà contesté avoir fait usage de produits dopants. Une perquisition a néanmoins été menée dans l'hôtel de l'équipe du Luxembourg dans la nuit de vendredi à samedi. L'équipe CSC-Saxo Bank, dont Frank Schleck est l'un des capitaines, donnera demain une conférence de presse.

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::vomir::

Frank Schleck entendu.

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Le champion du Luxembourg Frank Schleck (Team CSC-Saxo Bank) a été entendu hier soir par l'Agence Luxembourgeoise Antidopage (ALAD) dans le cadre de son implication présumée dans l'affaire Puerto. Récemment, une enquête du parquet allemand de Bonn a révélé que Frank Schleck aurait versé 7000 euros sur un compte suisse appartenant au docteur Fuentes en mars 2006, soit deux mois avant le déclenchement de l'opération Puerto. Le Luxembourgeois, porteur du Maillot Jaune sur les routes du dernier Tour de France, a été entendu pendant une heure par des membres de l'ALAD. Le coureur de 28 ans a contesté avoir fait usage de dopage mais ce n'est pas la première fois que des soupçons pèsent sur ses performances. L'enquête se poursuivra dans les semaines à venir, pouvant déboucher sur une éventuelle suspension.

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Pas surpris.

L'affaire Puerto close.

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Deux ans et demi après le début de l'affaire Puerto, le juge espagnol en charge de l'enquête Antonio Serrano a annoncé hier qu'il refermait définitivement le dossier. Classée une première fois en mars 2007 puis rouverte en février 2008, l'instruction n'a abouti à rien sur le plan pénal, aucune charge n'ayant pu être retenue contre le docteur Fuentes ou ses associés en l'absence de loi antidopage en Espagne à l'époque des faits. Cependant, la justice espagnole souhaite pouvoir sanctionner les personnes impliquées dans le plus vaste réseau de dopage sanguin découvert à ce jour. Aussi, le parquet a décidé de faire à nouveau appel de la décision d'Antonio Serrano auprès d'un tribunal madrilène spécialisé dans les affaires complexes. Dans cette affaire, seules des sanctions sportives ont pu être prises à l'encontre de quelques coureurs, comme Ivan Basso.

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La CERA recherchée sur le Tour.

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Le laboratoire de Châtenay-Malabry analyse depuis le début de la semaine des échantillons de coureurs suspectés de dopage pendant le dernier Tour de France. Le produit incriminé ? La CERA, cette nouvelle EPO que beaucoup croyaient indécelable et qui a fait tomber Riccardo Ricco, le premier piégé, en plein mois de juillet. Depuis, la méthode de détection s'est affinée. Jusqu'alors limitée aux seules analyses urinaires, la CERA peut désormais être détectée dans les échantillons sanguins. Le laboratoire de Châtenay-Malabry a donc décidé de procéder à l'examen d'une trentaine de casjugés suspects au cours du dernier Tour de France. De nouvelles têtes pourraient ainsi tomber de manière rétroactive. Plusieurs coureurs ayant outrepassé les règles pourraient ainsi avoir des soucis à se faire dans les semaines à venir.

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Le Luxembourgeois Frank Schleck a avoué avoir commis une faute en 2006. Il est suspendu à titre provisoire par l'équipe CSC-Saxo Bank.

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L'affaire a fini par le rattraper. Il y a une semaine, l'Agence Luxembourgeoise Antidopage (ALAD) avait annoncé vouloir entendre Frank Schleck (Team CSC-Saxo Bank) dans le cadre de son implication avérée dans l'affaire Puerto. C'est un versement du Luxembourgeois de 7000 euros sur un compte suisse appartenant au docteur Fuentes, en mars 2006, qui a permis de faire le lien. Le coureur de 28 ans a ainsi été invité à s'expliquer, d'abord auprès de l'ALAD, ensuite auprès de l'Union Cycliste Internationale, enfin auprès de sa formation, qui a choisi de le suspendre à titre provisoire sur la base des informations communiquées. Devant ses différents auditoires, Frank Schleck a maintenu n'avoir jamais fait usage de produits dopants... mais il a confirmé avoir commis une erreur en effectuant cette transaction vers un compte suisse.

Le champion du Luxembourg a en effet expliqué avoir versé une importante somme d'argent sur un compte suisse en mars 2006 afin de recevoir un programme d'entraînement confectionné pour lui par des experts en la matière, qui prétendaient encadrer de grands noms du sport. Naïvement, Frank Schleck a donc versé l'argent avant de découvrir l'arnaque et d'interrompre aussitôt le contact. Le Luxembourgeois a affirmé n'avoir jamais été au-delà du versement de la somme et donc n'avoir jamais eu recours aux services de ces gens, confirmant n'avoir jamais rencontré Eufemanio Fuentes. Il n'aurait fait le lien entre son contact et le docteur espagnol que plusieurs semaines après le début des investigations, en juin 2006. Le coureur s'est même dit prêt à livrer de son ADN afin de prouver que son sang n'était pas mêlé à l'affaire.

Si tous les éléments concordent à valider les propos de Frank Schleck (aucun autre versement effectué, aucune trace de manipulation dans ses examens sanguins), on ne pourra que déplorer la crédulité du coureur. L'ALAD décidera prochainement du sort du champion du Luxembourg. En attendant, l'équipe CSC a décidé de le mettre à pied. "Nous sommes déçus que Frank ait pris contact avec ces gens, déclare aujourd'hui Bjarne Riis. Son comportement a été irresponsable, même s'il est avéré qu'il n'a eu qu'un bref contact avec le cas espagnol deux mois avant l'opération Puerto. Frank a montré de grands remords envers cette gaffe, il a compris ne pas avoir agi selon nos règles. Par conséquent, nous avons pris la décision avec lui de ne plus l'aligner sur aucune course jusqu'à ce que nous puissions évaluer globalement la situation."

(source: www.velo101.com)

Stefan Schumacher et Leonardo Piepoli, tous deux vainqueurs d'étape sur le dernier Tour de France, ont été contrôlés positifs à la CERA. Hans-Michael Holczer le manager de l'équipe Gerolsteiner a confirmé l'implication de l'Allemand tandis que le CONI a annoncé la positivité de l'Italien.

La suspicion s'est transformée en certitude. Alors que la possibilité de détecter a posteriori l'usage de CERA (EPO de 3e génération) avait alimenté la chronique ces dernières semaines, deux vainqueurs d'étape du Tour de France viennent d'être déclarés positifs. Dans l'après-midi, le Comité National Olympique Italien (CONI) a annoncé par le biais d'un communiqué que Leonardo Piepoli était bien dopé sur le dernier Tour de France. Contrôlé positif le 4 (veille du départ de Brest) et le 15 juillet (journée de repos à Pau), le vétéran italien sera entendu vendredi prochain par le procureur antidopage de l'instance transalpine devant lequel il ne pourra pas nier l'évidence.

En début de soirée, la confirmation de la positivité de Stefan Schumacher est venue de Hans-Michael Holczer, manager de l'équipe Gerolsteiner. "Le directeur du Tour Christian Prudhomme me l'a confirmé, je n'ai aucun doute sur le fait que c'est vrai" , a affirmé Holczer. Un peu plus tôt dans la journée, alors que la rumeur bruissait autour de lui, le double vainqueur d'étape contre-la-montre sur le dernier Tour de France (Cholet et Saint-Amand-Montrond) s'était défendu sans convaincre: "C'est la première fois que j'entends cela. Tout ce que je peux vous dire c'est que je ne me suis pas dopé. C'est n'importe quoi" avait-il déclaré à l'agence sportive allemande SID.

Cette annonce ne surprend qu'à moitié les observateurs. En 2005, Schumacher avait ainsi été contrôlé positif à la cathine avant d'être acquitté. En 2006, il avait dû observer une période de repos de quinze jours pour un taux d'hématocrite supérieur à 50% (sans que la prise d'EPO ne soit pour autant prouvée). L'an dernier, enfin, il avait fêté sa médaille de bronze aux championnats du monde de Stuttgart en finissant dans une clôture, au volant de sa voiture, une soirée où il avait consommé des amphétamines. Holczer, initiateur l'an dernier avec les directeurs sportifs français du mouvement pour un cyclisme crédible se dit anéanti. Il a d'ailleurs annoncé qu'il allait porter l'affaire devant la justice. "Nous avons tous été dupés par cet homme" , a conclu le manager de la Gerolsteiner qui cessera d'exister le 31 décembre prochain.

D'autres risquent de suivre

Piepoli, pour sa part, était sous les feux des projecteurs depuis le dernier Tour de France. Vainqueur au sommet de la montée d'Hautacam, le grimpeur italien et ses coéquipiers n'avaient pas pris le départ de Lavelanet au lendemain du contrôle positif à la CERA de leur leader Riccardo Ricco. Dans la foulée, l'équipe Saunier Duval décidait de licencier ses deux chefs de file. Si pour Ricco la faute était avérée, il n'en était pas de même pour Piepoli, à l'époque pas encore formellement convaincu de dopage et remercié pour "violation du code éthique".

Fin juillet, Piepoli sur lequel pesait de très forts soupçons, était entendu une première fois par le Comité Olympique Italien (CONI) devant lequel il nia fermement s'être dopé. "Je n'ai rien d'important à dire concernant l'audition. J'ai tout nié. J'ai été auditionné en tant que simple témoin. J'ai dit ce que j'avais à dire, rien de plus, rien de moins", avait-il déclaré à sa sortie fort de l'absence de contrôle positif dont il jouissait alors.

Schumacher et Piepoli pris dans les mailles d'un filet qui ne cesse de se resserrer, les révélations pourraient maintenant se succéder dans les jours et semaines à venir. Fort d'un protocole de tests sanguins permettant de révéler l'usage de CERA, l'Agence Française de Lutte contre le Dopage (AFLD) est en effet en train de procéder à des analyses sur les échantillons de coureurs qui présentaient un profil hématologique suspect sur le dernier Tour de France. Les résultats de ces tests devraient tomber très prochainement mais seulement lorsque la culpabilité des coureurs mis en cause serait avérée de manière irréfutable. "Les laboratoires français de Châtenay-Malabry et suisse de Lausanne ont mis au point chacun de leur côté un nouveau système pour découvrir la CERA dans le sang. Nous avons décidé de travailler de manière complémentaire avec Lausanne. Un coureur sera déclaré positif s'il est positif à la fois à Paris et à Lausanne" avait déclaré dimanche le président de l'AFLD Pierre Bodry sur le plateau de l'émission Stade 2. Une trentaine de coureurs douteux, dont certains "premiers rôles" du dernier Tour, sont ciblés. Certains d'entre eux doivent mal dormir...

source eurosport

et hop 2 de moins... :moins:

Oui deux tricheurs en moins, heureusement que chavanel a eu le titre du plus combatif sinon c'était un dopé ^^

Pour schumacher, je m'en doutais un peu, vu ses performances ! Mais bon content qu'il dégage.

Schumacher va payer.

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Contrôlé positif à la CERA après avoir échappé plusieurs fois à des sanctions malgré les doutes qui planaient sur ses performances depuis le début de sa carrière, l'Allemand Stefan Schumacher (Gerolsteiner) devrait payer le prix fort. C'est en tout cas l'objectif de la fédération allemande de cyclisme, dont on connaît l'intransigeance en matière de dopage. "Ce contrôle positif est un choc mais reste une bonne nouvelle, a estimé le président de la fédération allemande Rudolf Scharping. Le filet très étroit tendu par les instances antidopage assure que pratiquement personne ne peut passer à travers." Une action disciplinaire va désormais être ouverte à l'encontre du rouleur allemand, vainqueur des deux contre-la-montre du dernier Tour de France. Schumacher, qui s'est engagé avec l'équipe Quick Step pour 2009, risque une suspension de deux ans au moins.

(source: www.velo101.com)

:/cool/:

Bernard Kohl dopé... :o

Information L'Equipe : Bernhard Kohl (Gerolsteiner, photo L'Equipe), troisième du Tour de France et vainqueur du maillot à pois de meilleur grimpeur, est le quatrième coureur contrôlé positif à la CERA (EPO à effets retard) par le Département analyses de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).

Après les Italiens Riccardo Ricco (déjà positif au niveau urinaire) et Leonardo Piepoli, co-équipiers chez Saunier-Duval, l'Allemand Stefan Schumacher (Gerolsteiner lui aussi), l'Autrichien est donc tombé comme les autres par le biais des tests sanguins réalisés a posteriori et conjointement dans les laboratoires de Lausanne et à celui de Châtenay-Malabry.

Si la contre-expertise devait confirmer les résultats de l'échantillon A, le coureur de la Gerolsteiner, qui avait été particulièrement ciblé par les responsables des contrôles lors de la course en raison de ses paramètres sanguins suspects, encourt une suspension de deux ans et pourrait perdre sa place de troisième du Tour au bénéfice du Russe Denis Menchov (Rabobank) et céder son

scott² a écrit:Bernard Kohl dopé... :o

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Idem, pas surpris, plutôt content

ca tombe!
certains coureurs doivent avoir du mal a dormir...