Paris-Roubaix :

La société Amaury Sport Organisation a annoncé la liste des vingt-cinq équipes retenues pour Paris-Roubaix, mais aussi la Flèche Wallonne et Liège-Bastogne-Liège. Les mêmes groupes sportifs seront invités à prendre part aux trois classiques. L'ensemble des groupes sportifs du ProTour, à l'exception d'Astana, sera au départ : Ag2r La Mondiale, Bouygues Telecom, Caisse d'Epargne, Cofidis, Crédit Agricole, Euskaltel-Euskadi, Française des Jeux, Gerolsteiner, High Road, Lampre, Liquigas, Quick Step, Rabobank, Saunier Duval-Scott, Silence-Lotto, Team CSC et Team Milram. A ces formations s'ajouteront les équipes Agritubel, Barloworld, Cycle Collstrop, Landbouwkrediet-Tonissteiner, Skil-Shimano, Slipstream Chipotle-H30, Tinkoff Credit Systems et Topsport Vlaanderen.

(source: www.velo101.com)

aller mes ti bouygues!!!!!

Humm... je dirai plutôt courage à tout le monde pour cette course difficile que ce soit sous la pluie, boue, chaleur, poussières,froid ...

ouè c'est vrai, bon courage a eyx tous pour cet enfer du nord

Les organisateurs de Paris-Roubaix ont reconnu hier le parcours de la reine des classiques, attribuant une note de difficulté à chacun des vingt-huit secteurs pavés de la course, en fonction de leur longueur, de l'irrégularité des pavés, de l'état général du tronçon et de leur emplacement. Au total, la 106ème édition de Paris-Roubaix comportera 52,8 kilomètres de pavés. Les secteurs ont été jugés praticables par les organisateurs, en dépit des fortes pluies tombées ces derniers jours. Les coureurs emprunteront ainsi les secteurs de Troisvilles, Viesly, Quievy, Saint-Python, Vertain,
Capelle-sur-Ecaillon, Verchain-Maugré, Querenaing, Monchaux-sur-Ecaillon, Haveluy, Trouée d'Arenberg, Wallers, Hornaing, Warlaing, Tilloy, Orchies, Auchy-lez-Orchies, Mons-en-Pévèle, Mérignies, Pont-Thibaut, Templeuve l'Epinette, Le Moulin de Vertain, Cysoing, Bourghelles, Camphin-en-Pévèle, Le Carrefour de l'Arbre, Gruson, Hem et Roubaix.

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Mons-en-Pévèle

C'est là où je vais chaque année, une des plus grandes difficultées avec la Tranchée !!

Le Belge Gert Steegmans (Quick Step) ne participera pas dimanche à Paris-Roubaix. Souffrant depuis sa chute il y a deux semaines dans A Travers les Flandres, le double vainqueur d'étapes sur le dernier Paris-Nice a annoncé hier qu'il ne se présenterait pas au départ de Compiègne dans quarante-huit heures. Gert Steegmans a beaucoup souffert au cours de Gand-Wevelgem. Il doit passer des examens médicaux ces prochains jours afin de vérifier l'origine de la douleur. En attendant, il mettra le vélo de côté en croisant les doigts pour que son leader Tom Boonen rafle la mise sur les pavés du Nord. Au cours de sa carrière, Gert Steegmans n'a jamais réalisé de place sur le vélodrome de Roubaix. En revanche, son bon comportement dans les classiques du genre aurait pu représenter un appui de poids pour Tom Boonen.

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A deux jours de Paris-Roubaix, l'équipe Ag2r La Mondiale est ambitieuse. La formation de Vincent Lavenu aura à cœur de rattraper un début de saison mitigé sur les pavés du Nord. "L'équipe doit retrouver une dynamique, a annoncé le manager. Ce type d'épreuve, qui fait beaucoup de dégâts au niveau de l'ensemble des équipes, est difficile et demande une grande rigueur. Nous visons une place dans les dix premiers avec Martin Elmiger, très régulier sur les classiques. C'est un objectif parfaitement réalisable. Il faudra pour cela placer un ou plusieurs coureurs dans l'échappée, comme ce fut le cas la saison dernière avec Poulhiès, pourtant inexpérimenté. Compte tenu de son aspect historique et de son impact médiatique, Paris-Roubaix est une course extrêmement importante pour notre équipe et nous nous devons d'être à la hauteur."

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260 kilomètres d'efforts dans une galère à vélo annoncée fraîche et pluvieuse, 53 bornes de pavés gras et cahoteux, et une seule idée en tête : rallier le vélodrome. Paris-Roubaix est une classique unique à tous points de vue. Un périple en enfer sur les routes et chemins du Nord, une aventure riche en péripéties au terme de laquelle on ressort grandit à jamais, héroïque pour toujours. Son intransigeance fascine, son histoire passionne, son charme envoûte. On la dit reine des classiques, et il est clair que Paris-Roubaix demeure un ton au-dessus des autres monuments du cyclisme. Celui qui franchit le premier les portes du vélodrome mérite sa place au panthéon du sport. Car pour y parvenir, il aura fallu conjuguer courage, audace et chance au cours d'une épreuve n'ayant pas pour habitude de faire de cadeaux à qui que ce soit.

Gagner Paris-Roubaix, ça se mérite. Chacun le sait, et c'est avec une grande humilité et un pieux respect que chacun des prétendants à la victoire se présentera dimanche matin au départ de Compiègne (Oise), en route pour 259,5 kilomètres en enfer, direction Roubaix (Nord). Il faudra alors demeurer vigilant jusqu'aux premiers secteurs-pavés, au nombre de trente cette année, pour un total de 52,8 kilomètres de voies romaines. A compter de Troisvilles, c'est donc un kilomètre sur trois qui sera à effectuer sur pavé jusqu'au vélodrome de Roubaix. Il faudra toutefois attendre la traversée de l'impardonnable Tranchée d'Arenberg, à 96 kilomètres du but, pour y voir plus clair dans le jeu des favoris. La sélection se fera alors à la pédale dans un final qui passera par Mons-en-Pévèle, Le Moulin-de-Vertain, Cysoing-Bourghelles, Camphin-en-Pévèle et le Carrefour de l'Arbre, souvent décisif à 17 kilomètres de l'arrivée.

Difficile cependant d'établir un scénario tout conçu quarante-huit heures avant la course. Paris-Roubaix possède ceci de magique que rien ne peut laisser augurer au préalable du canevas de l'épreuve. Les favoris devront mettre la chance de leur côté et tâcher de conserver un esprit tactique en dépit de la douleur physique pour établir une stratégie infaillible le jour J. Car il n'existe aucun remède-miracle pour remporter Paris-Roubaix. Et c'est sans doute ce qui en fait sa magie. Pourtant, on ne gagne pas l'Enfer du Nord par hasard. Les favoris sont connus. Ils se nomment Tom Boonen (Quick Step), Fabian Cancellara (Team CSC), Alessandro Ballan (Lampre), Juan-Antonio Flecha (Rabobank), George Hincapie (High Road) et Filippo Pozzato (Liquigas). Mais de nombreux outsiders pourront tout aussi bien tirer leur épingle du jeu dans la classique nordiste.

A qui pense-t-on ? Quelques noms parmi d'autres, mais Magnus Backstedt (Slipstream Chiptole-H30), Baden Cooke (Barloworld), Stijn Devolder (Quick Step), Frédéric Guesdon (Française des Jeux), Leif Hoste (Silence-Lotto), Thor Hushovd (Crédit Agricole), Mikhail Ignatiev (Tinkoff Credit Systems), Andreas Klier (High Road), Nick Nuyens (Cofidis), Stuart O'Grady (Team CSC) ou Steffen Wesemann (Cycle Collstrop) pourraient fort bien revêtir le costume de vainqueur dimanche soir pour dresser bien haut, dans un ciel annoncé chargé de pluie, le pavé octroyé au vainqueur de l'épreuve.

Les 30 secteurs-pavés :

• Km 98 : Troisvilles (2200 mètres)
  
• Km 104 : Viesly (1800 mètres)
  
• Km 107 : Quievy (3700 mètres)
  
• Km 112 : Saint-Python (1500 mètres)
  
• Km 119 : Vertain (2000 mètres)
  
• Km 126 : Capelle-sur-Ecaillon-Le Buat (1700 mètres)
  
• Km 138 : Verchain-Maugré-Quérénaing (1600 mètres)
  
• Km 141 : Querenaing-Maing (2500 mètres)
  
• Km 144 : Monchaux-sur-Ecaillon (1600 mètres)
  
• Km 155 : Haveluy (2500 mètres)
  
• Km 163 : Trouée d'Arenberg (2400 mètres)
  
• Km 170 : Wallers-Hélesmes (1600 mètres)
  
• Km 176 : Hornaing-Wandignies (3700 mètres)
  
• Km 184 : Warlaing-Brillon (2400 mètres)
  
• Km 187 : Tilloy-Sars-et-Rosières (2400 mètres)
  
• Km 194 : Beuvry-la-Forêt à Orchies (1400mètres)
  
• Km 198 : Orchies (1700 mètres)
  
• Km 205 : Auchy-lez-Orchies-Bersée (1200 mètres)
  
• Km 210 : Mons-en-Pévèle (3000 mètres)
  
• Km 216 : Mérignies-Pont-à-Marcq (700 mètres)
  
• Km 219 : Pont-Thibaut (1400 mètres)
  
• Km 225 : Templeuve l'Epinette (200 mètres)
  
• Km 225 : Le Moulin de Vertain (500 mètres)
  
• Km 232 : Cysoing-Bourghelles (1300 mètres)
  
• Km 234 : Bourghelles-Wannehain (1100 mètres)
  
• Km 239 : Camphin-en-Pévèle (1800 mètres)
  
• Km 242 : Le Carrefour de l'Arbre (2100 mètres)
  
• Km 244 : Gruson (1100 mètres)
  
• Km 251 : Hem (1400 mètres)
  
• Km 257 : Roubaix (300 mètres)
  

Les 200 engagés :

• Team CSC (DAN) : 1. Stuart O'Grady (AUS), 2. Kurt-Asle Arvesen (NOR), 3. Lars-Ytting Bak (DAN), 4. Matti Breschel (DAN), 5. Fabian Cancellara (SUI), 6. Allan Johansen (DAN), 7. Kasper Klostergård (DAN), 8. Marcus Ljungqvist (SUE)
  
• Rabobank (PBS) : 11. Juan-Antonio Flecha (ESP), 12. Jan Boven (PBS), 13. Rick Flens (PBS), 14. Mathew Hayman (AUS), 15. Pedro Horrillo (ESP), 16. Sebastian Langeveld (PBS), 17. Tom Leezer (PBS), 18. Joost Posthuma (PBS)
  
• Cycle Collstrop (SUE) : 21. Steffen Wesemann (SUI), 22. Borut Bozic (SLO), 23. Bas Giling (PBS), 24. Michal Golas (POL), 25. David Kopp (ALL), 26. Marco Marcato (ITA), 27. Matthé Pronk (PBS), 28. Raynold Smith (AFS)
  
• Silence-Lotto (BEL) : 31. Leif Hoste (BEL), 32. Wim De Vocht (BEL), 33. Jurgen Roelandts (BEL), 34. Roy Sentjens (BEL), 35. Maarten Tjallingii (PBS), 36. Greg Van Avermaet (BEL), 37. Johan Van Summeren (BEL), 38. Wim Vansevenant (BEL)
  
• Liquigas (ITA) : 41. Filippo Pozzato (ITA), 42. Maciej Bodnar (POL), 43. Francesco Chicchi (ITA), 44. Murilo Fischer (BRE), 45. Enrico Franzoi (ITA), 46. Aleksandr Kuschynski (BLR), 47. Manuel Quinziato (ITA), 48. Frederik Willems (BEL)
  
• Quick Step (BEL) : 51. Tom Boonen (BEL), 52. Wilfried Cretskens (BEL), 53. Steven De Jongh (PBS), 54. Stijn Devolder (BEL), 55. Kevin Hulsmans (BEL), 56. Matteo Tosatto (ITA), 57. Wouter Weylandt (BEL), 58. Maarten Wynants (BEL)
  
• High Road (USA) : 61. George Hincapie (USA), 62. Bernhard Eisel (AUT), 63. Bert Grabsch (ALL), 64. Roger Hammond (GBR), 65. Andreas Klier (ALL), 66. Servais Knaven (PBS), 67. Vicente Reynes (ESP), 68. Marcel Sieberg (ALL)
  
• Lampre (ITA) : 71. Alessandro Ballan (ITA), 72. Fabio Baldato (ITA), 73. Marco Bandiera (ITA), 74. Paolo Bossoni (ITA), 75. Paolo Fornaciari (ITA), 76. Massimiliano Mori (ITA), 77. Christian Murro (ITA), 78. Danilo Napolitano (ITA)
  
• Gerolsteiner (ALL) : 81. Thomas Fothen (ALL), 82. Oscar Gatto (ITA), 83. Heinrich Haussler (ALL), 84. Sven Krauss (ALL), 85. Sebastian Lang (ALL), 86. Stephan Schreck (ALL), 87. Carlo Westphal (ALL), 88. Peter Wrolich (AUT)
  
• Team Milram (ALL) : 91. Ralf Grabsch (ALL), 92. Markus Eichler (ALL), 93. Dennis Haueisen (ALL), 94. Christian Knees (ALL), 95. Martin Müller (ALL), 96. Enrico Poitschke (ALL), 97. Fabio Sabatini (ITA), 98. Niki Terpstra (PBS)
  
• Cofidis (FRA) : 101. Nick Nuyens (BEL), 102. Kevin De Weert (BEL), 103. Hervé Duclos-Lassalle (FRA), 104. Mathieu Heijboer (PBS), 105. Frank Hoj (DAN), 106. Sébastien Minard (FRA), 107. Staf Scheirlinckx (BEL), 108. Tristan Valentin (FRA)
  
• Ag2r La Mondiale (FRA) : 111. Martin Elmiger (SUI), 112. Renaud Dion (FRA), 113. Yuriy Krivtsov (UKR), 114. Laurent Mangel (FRA), 115. Loyd Mondory (FRA), 116. Jean-Patrick Nazon (FRA), 117. Stéphane Poulhiès (FRA), 118. Stijn Vandenbergh (BEL)
  
• Française des Jeux (FRA) : 121. Frédéric Guesdon (FRA), 122. Sébastien Chavanel (FRA), 123. Mickaël Delage (FRA), 124. Arnaud Gerard (FRA), 125. Timothy Gudsell (NZL), 126. Mathieu Ladagnous (FRA), 127. Christophe Mengin (FRA), 128. Yoann Offredo (FRA)
  
• Caisse d'Epargne (ESP) : 131. Arnaud Coyot (FRA), 132. Mathieu Drujon (FRA), 133. Imanol Erviti (ESP), 134. José-Vicente Garcia-Acosta (ESP), 135. José-Ivan Gutierrez (ESP), 136. Luis Pasamontes (ESP), 137. Nicolas Portal (FRA), 138. José-Joaquin Rojas (ESP)
  
• Skil-Shimano (PBS) : 141. Clément Lhotellerie (FRA), 142. Roy Curvers (PBS), 143. Maarten Den Bakker (PBS), 144. David Deroo (FRA), 145. Floris Goesinnen (PBS), 146. Sebastian Siedler (ALL), 147. Tom Veelers (PBS), 148. Robert Wagner (ALL)
  
• Topsport Vlaanderen (BEL) : 151. Nico Eeckhout (BEL), 152. Koen Barbé (BEL), 153. Kenny De Haes (BEL), 154. Pieter Ghyllebert (BEL), 155. Kristof Goddaert (BEL), 156. Kurt Hovelynck (BEL), 157. Maarten Neyens (BEL), 158. Pieter Vanspeybrouck (BEL)
  
• Agritubel (FRA) : 161. Jimmy Casper (FRA), 162. Emilien-Benoît Bergès (FRA), 163. Steven Caethoven (BEL), 164. Cédric Coutouly (FRA), 165. Mikel Gaztañaga (ESP), 166. Kevin Ista (BEL), 167. Geoffroy Lequatre (FRA), 168. Benoît Sinner (FRA)
  
• Landbouwkrediet-Tönissteiner (BEL) : 171. Tom Steels (BEL), 172. Dirk Bellemakers (PBS), 173. David Boucher (FRA), 174. Jan Kuyckx (BEL), 175. Filip Meirhaeghe (BEL), 176. Kevin Neirynck (BEL), 177. Ian Stannard (GBR), 178. Wouter Van Mechelen (BEL)
  
• Crédit Agricole (FRA) : 181. Thor Hushovd (NOR), 182. Laszlo Bodrogi (HON), 183. Jimmy Engoulvent (FRA), 184. Sébastien Hinault (FRA), 185. Jeremy Hunt (GBR), 186. Gabriel Rasch (NOR), 187. Mark Renshaw (AUS), 188. Yannick Talabardon (FRA)
  
• Bouygues Telecom (FRA) : 191. Aurélien Clerc (SUI), 192. Yohann Gène (FRA), 193. Arnaud Labbe (FRA), 194. Rony Martias (FRA), 195. Alexandre Pichot (FRA), 196. Erki Pütsep (EST), 197. Franck Renier (FRA), 198. Sébastien Turgot (FRA)
  
• Saunier Duval-Scott (ESP) : 201. Raul Alarcon (ESP), 202. Raivis Belohvosciks (LET), 203. Ermanno Capelli (ITA), 204. Jesus Del Nero (ESP), 205. Denis Flahaut (FRA), 206. Angel Gomez (ESP), 207. Luciano Pagliarini (BRE), 208. Aurélien Passeron (FRA)
  
• Euskaltel-Euskadi (ESP) : 211. Josu Agirre (ESP), 212. Beñat Albizuri (ESP), 213. Lander Aperribai (ESP), 214. Javier Aramendia (ESP), 215. Koldo Fernandez (ESP), 216. Markel Irizar (ESP), 217. Juan-José Oroz (ESP), 218. Alan Perez (ESP)
  
• Tinkoff Credit Systems (ITA) : 221. Mikhail Ignatiev (RUS), 222. Pavel Brutt (RUS), 223. Ilya Chernetsky (RUS), 224. Nikita Eskov (RUS), 225. Alexander Gottfried (ALL), 226. Alberto Loddo (ITA), 227. Bernardo Riccio (ITA), 228. Alexander Serov (RUS)
  
• Barloworld (GBR) : 231. Robert Hunter (AFS), 232. Patrick Calcagni (SUI), 233. Baden Cooke (AUS), 234. Marco Corti (ITA), 235. Chris Froome (KEN), 236. Daryl Impey (AFS), 237. Paolo Longo Borghini (ITA), 238. Carlo Scognamiglio (ITA)
  
• Slipstream Chipotle-H30 (USA) : 241. Magnus Backstedt (SUE), 242. Julian Dean (NZL), 243. Tyler Farrar (USA), 244. Michael Friedman (USA), 245. William Frischkorn (USA), 246. Christophe Laurent (FRA), 247. Martyn Maaskant (PBS), 248. Chris Sutton (AUS)
  

Les 10 derniers vainqueurs :

2007 : Stuart O'Grady (AUS, Team CSC)
2006 : Fabian Cancellara (SUI, Team CSC)
2005 : Tom Boonen (BEL, Quick Step)
2004 : Magnus Backstedt (SUE, Alessio-Bianchi)
2003 : Peter Van Petegem (BEL, Lotto-Domo)
2002 : Johan Museeuw (BEL, Domo-Farm Frites)
2001 : Servais Knaven (PBS, Domo-Farm Frites)
2000 : Johan Museeuw (BEL, Mapei-Quick Step)
1999 : Andrea Tafi (ITA, Mapei-Quick Step)
1998 : Franco Ballerini (ITA, Mapei-Bricobi)

(source: www.velo101.com)

Vivement demain :XMX££:

Espérons voir une grande course qui dans cette légende qui est Paris-Roubaix où une grande bagarre où a toujours lieu dans cette course pour homme fort .

Photographies prises par Rém's-Ko, interdiction de copier ces images, sauf sur demande par Message Privé du fondateur /modérateurs/trices généraux .

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Pour eux plus que jamais, c'est l'événement. Celui qu'on prépare jusque tard la nuit, des jours voire des semaines à l'avance. A l'heure où le soleil se couche sur la paisible ville de Compiègne, les mécaniciens s'affairent une dernière fois sur les machines uniques qui partiront au front demain matin, à travers 260 bornes marquées par le vent, la boue... et surtout les pavés. Sur les chemins de l'Enfer, tout le monde est mis à rude épreuve : les corps des coureurs, les esprits des mécanos et les vélos des champions, prêts à encaisser les secousses. Si Paris-Roubaix demeure l'occasion pour les constructeurs
de proposer des modèles uniques, la reine des classiques n'est plus un laboratoire grandeur nature. "En fait, tout dépend ce qu'on vise, entend-on chez les mécaniciens. Si l'on joue une victoire, il vaut mieux s'en tenir à du matériel conventionnel."

Conventionnel, mais pas trop. Selon les équipes, selon les partenaires, Paris-Roubaix est l'occasion de sortir du matériel unique. Les cadres sont modifiés. Certaines formations optent pour de l'alu, plus résistant, d'autres adoptent des cadres en carbone renforcé, moins rigides mais plus confortables. A la Française des Jeux, on a même carrément opté pour un vélo spécifique à Paris-Roubaix, encore jamais utilisé en course. L'équipe de Marc Madiot n'hésite pas à tester les nouveautés. Elle sera la première, demain, à rouler en tubeless sur les pavés du Nord, une technologie permettant au coureur de rouler sur les bas-côtés avec un risque moindre de crevaison. Les autres formations restent fidèles aux boyaux ou aux pneus à sections élargies. Selon les conditions météorologiques, on ira du 24 au 27 sur les routes de Paris-Roubaix pour 6 à 7 bars de pression, contre 9 à 10 sur une course classique.

Les géométries des cadres demeureront quant à elles le plus proche possibles des vélos traditionnellement utilisés. Les modifications ont notamment été apportées à un empattement plus long pour plus de stabilité, à un boîtier de pédalier rehaussé, à des passages de freins plus larges. Certains opteront pour des guidolines renforcées, bien que ce choix dépende de chaque coureur. Pas de folie, donc. Si Paris-Roubaix mérite un matériel unique pour une course du même calibre, l'enjeu est trop important pour y tester les nouveautés. L'équipe Cofidis a notamment mis de côté son test des
dérailleurs électriques, ne désirant pas prendre le moindre risque sur la reine des classiques. Tapis dans l'ombre des champions, les mécanos du peloton passeront leur grand examen de printemps dans vingt-quatre heures. Le cœur aussi serré que celui de leurs poulains.

(source: www.velo101.com)

(auteur: Rém's-Ko)

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On l'affuble du titre de reine des classiques, mais c'est bien plus encore celui d'Enfer du Nord qui colle à la peau de Paris-Roubaix. Un bout droit de 260 bornes entre Compiègne et Roubaix, marqué par une trentaine de secteurs-pavés pour un périple infernal de 52,8 kilomètres sur voies pavées, de gros galets cassants, irréguliers et poussiéreux. C'est sur ces routes mythiques que s'écrivent les légendes, celles qui se perpétueront dans le temps, celles qui transformeront les hommes en héros. Vaincre Paris-Roubaix réclame un talent de géant teinté d'une chance inhérente et d'une tactique digne des plus grands stratèges. Celui qui parvient à réunir tous ces ingrédients pourra rêver d'entrer dans le vélodrome de Roubaix le premier. Un honneur qui n'est donné qu'aux champions. Nul ne triomphe de l'Enfer par hasard. Sur les pavés, tout se mérite.

Paris-Roubaix est une invitation à l'enfer. Quelque soit le temps, le pavé est brutal, secoue les corps, malmène les machines. Mais c'est dans la douleur que se façonnent les grands hommes. Tom Boonen (Quick Step), Fabian Cancellara (Team CSC) et Alessandro Ballan (Lampre) en sont trois. Trois favoris à la victoire. Trois champions appelés à jouer aujourd'hui les protagonistes dans une course plus ensoleillée que jamais. La météo prédisait le pire : on annonçait du froid, de l'eau et de la boue. Mais l'astre solaire aura épargné les coureurs tout au long d'une splendide journée. Paris-Roubaix réserve décidément bien des surprises. Or la météo aura peut-être bien constitué cette fois la seule surprise d'un événement dans sa 106ème édition tant la course se sera voulue limpide et sans accrocs pour les favoris, propulsés aux avant-postes.

La coutume autorise une échappée matinale à parcourir en éclaireur les premiers secteurs-pavés. Trois coureurs obtiennent leur bon de sortie au 87ème kilomètre : Jan Kuyckx (Landbouwkrediet-Tönissteiner), Matthé Pronk (Cycle Collstrop) et Alexander Serov (Tinkoff Credit Systems). Le trio de tête obtient un avantage de quelques six minutes sur le peloton, ce qui lui permet d'entrer en tête dans la fameuse Tranchée d'Arenberg, où les choses sérieuses sont appelées à bouger à 96 kilomètres de l'arrivée. La Trouée et ses 2400 mètres de pavés rectilignes, c'est le tournant de l'épreuve, le début de l'explication entre les grands favoris. Or deux d'entre eux sont d'ores et déjà éliminés, Filippo Pozzato (Liquigas) étant retardé sur chute tandis que Juan-Antonio Flecha (Rabobank) est sorti sur crevaison.

Boonen, Cancellara, Ballan, un trio aussi logique qu'insensé.

A la sortie d'Arenberg, il est temps de faire les premiers comptes. Un groupe d'une trentaine d'unités s'est détaché, revenant sur les échappés matinaux avec la majeure partie des favoris. Les attaques se succèdent alors pour tenter d'éclaircir les rangs des prétendants à la victoire. Elles débouchent sur l'éclosion d'un groupe de huit unités dans le secteur de Mons-en-Pévèle, à moins de 50 kilomètres de l'arrivée. Figurent en tête Tom Boonen et Stijn Devolder (Quick Step), Fabian Cancellara et Stuart O'Grady (Team CSC), Alessandro Ballan (Lampre), Martijn Maaskant (Slipstream Chipotle-H30), Leif Hoste et Johan Vansummeren (Silence-Lotto). Mais le grand ménage est encore loin d'être fini sur les pavés poussiéreux de Paris-Roubaix. Aussi, à 35 kilomètres du but, c'est sur le secteur de Templeuve que Fabian Cancellara provoque la décision.

Le champion suisse déclenche la grande bagarre, celle à laquelle ne peuvent répondre que deux coureurs à la mesure de son talent, le Belge Tom Boonen et l'Italien Alessandro Ballan. Et voilà comment, à la régulière, les trois grands favoris de Paris-Roubaix se retrouvent catapultés en tête de course, selon une logique insensée dans l'Enfer du Nord. Dès lors, il ne fait plus l'ombre d'un doute que le podium de la reine des classiques est établi. Les trois champions se relaient efficacement en tête de course, repoussant définitivement leurs adversaires, réduits à se disputer les places d'honneur. Ensemble, Tom Boonen, Fabian Cancellara et Alessandro Ballan négocient unis et sans soucis les derniers secteurs-pavés de la journée : Cysoing, Bourghelles, Camphin-en-Pévèle, le Carrefour de l'Arbre, Gruson, Hem et Roubaix.

En dépit d'accélérations successives, aucun des trois hommes de tête ne parvient à se détacher. Jamais les trois leaders ne se regarderont, fournissant leur effort à tour de rôle pour finalement faire une entrée en fanfare sur le vélodrome de Roubaix. C'est donc au sprint entre le trio majeur que se décidera la 106ème édition de Paris-Roubaix. Trois ans après un premier succès, le Belge Tom Boonen se montre le plus frais au terme d'une course infernale. Il porte son effort décisif à 200 mètres de la ligne pour s'adjuger une deuxième édition de Paris-Roubaix devant Fabian Cancellara et Alessandro Ballan. Un podium royal pour une course du même calibre. Côté Français, c'est le spécialiste breton Frédéric Guesdon (Française des Jeux) qui conclut la reine des classiques en tête. Il sort 11ème d'une journée en enfer.

Classement :

1. Tom Boonen (BEL, Quick Step) les 259,5 km en 5h58'42"
2. Fabian Cancellara (SUI, Team CSC) à 1 sec.
3. Alessandro Ballan (ITA, Lampre) m.t.
4. Martyn Maaskant (PBS, Slipstream Chipotle-H30) à 3'39"
5. Stuart O'Grady (AUS, Team CSC) à 3'57"
6. Leif Hoste (BEL, Silence-Lotto) m.t.
7. Stijn Devolder (BEL, Quick Step) à 3'59"
8. Johan Van Summeren (BEL, Silence-Lotto) à 4'35"
9. George Hincapie (USA, High Road) à 5'12"
10. Fabio Baldato (ITA, Lampre) m.t.

Classement complet

(source: www.velo101.com)

Belle course que j'ai vu en différée vu que j'ai assisté à cette course, sans regret !

je confirme que c'était une belle course, je pensait a toi pendant que moi j'était devant la télé j'espère que tu t'es bien amusé et que as pris de belles photos!

Oui, je vais en mettre .

Je mets un encouragement à Denis Flahaut (premiére participation sur Paris-Roubaix!), dernier de la course, que j'ai bien-évidament et fortemant encouragé, et d'ailleurs il à pris son courage à deux mains et à finit dernier de Paris-Roubaix avec 30 minutes de retard , à ce moment plus personne sur le vélodrome roubaisiens, alors Mr Denis quel courage et envie !!!
Voici sa photo que j'ai prise



J'ai une vidéo de lui, je la mettrai demain !

Voici la vidéo de Denis Flahaut, malheureusement, vu son retard, presque plus de personne pour le soutenir , Encore bravo à lui !
Patientez quelques secondes avant l'appartition de la vidéo !

[quote="Rém's-Ko"]Je mets un encouragement à Denis Flahaut (premiére participation sur Paris-Roubaix!), dernier de la course, que j'ai bien-évidament et fortemant encouragé, et d'ailleurs il à pris son courage à deux mains et à finit dernier de Paris-Roubaix avec 30 minutes de retard , à ce moment plus personne sur le vélodrome roubaisiens, alors Mr Denis quel courage et envie !!!
Voici sa photo que j'ai prise

quel courage a lui de finir la course alors qu'il n'y a plus personnes sur les bords de la route moi je lui dit un grand bravo car il le mérite emplement!!

(auteur: Rém's-Ko)

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Ce sont des chiffres records qu'a enregistré l'édition 2008 de Paris-Roubaix. Sous un temps clément, les coureurs ont réalisé un record de vitesse, parcourant les 259,5 kilomètres à la vitesse moyenne de 43,406 km/h. Cela en fait le Paris-Roubaix le plus rapide de l'histoire contemporaine, le record étant toujours détenu par le Néerlandais Peter Post avec une moyenne de 45,129 km/h sur un autre parcours en 1965. Excellents chiffres également du côté des audiences télévisées. Dimanche, 3,7 millions de téléspectateurs se sont massés devant leur petit écran pour assister au final de la reine des
classiques, soit une part de marché de 32,9 % dans le dernier quart d'heure. C'est la deuxième meilleure audience de l'histoire de Paris-Roubaix après celle enregistrée au cours de l'édition 2003.

(source: www.velo101.com)

Tant mieux, si le cyclisme intéresse !

Rém's-Ko a écrit:Tant mieux, si le cyclisme intéresse !

entièrement d'accord avec toi

Salut, c'était une belle course, sinon moi je suis allé voir Gand Wevelguem mercredi passé dans Kemmel (cote en pavé à 21%) les coureurs l'ont emprunté à deux reprises

La plus grange côte des Flandres , non

Belle course les 3 meilleurs de classiques aux premières places avec une grande victoire de Boonen qui répond à tout ce qui était marqué dans les journaux en grand champion .